Réaliser le diagnostic de performance énergétique à son logement
Le Diagnostic de Performance Énergétique informe sur la performance énergétique d’un bien ou d’un bâtiment.
Mais depuis le 1er juillet 2021, pour une durée de 10 ans, il a été modifié pour le rendre plus fiable, plus lisible et surtout pour mieux prendre en compte les enjeux climatiques.
Et pour vous, nous avons relevé 6 points qui vont vous permettre de mieux le comprendre !
Le DPE est maintenant opposable
Lorsque l’étiquette attribuée au logement est fausse, l’acquéreur peut maintenant se retourner contre son vendeur pour préjudice.
Le diagnostic devient contractuel de la même façon que les autres expertises immobilières obligatoires lorsque la Loi Elan du 23 novembre 2018 est appliquée.
La méthode de calcul est normalisée et les factures d’énergie disparaissent définitivement
Dans la nouvelle version du Diagnostic de Performance Énergétique, 5 usages quotidiens de consommation énergétique sont pris en compte dans la méthode de calcul : le chauffage, l’eau chaude, la climatisation, l’éclairage et l’auxiliaire.
Concernant la vente et la location
Le nouveau Diagnostic de Performance Énergétique considère la fusion des DPE, il peut alors être utilisé pour les deux transactions immobilières.
Un propriétaire d’un bien en copropriété avec un chauffage collectif peut faire réaliser un DPE à l’immeuble
Lorsque des travaux sont effectués au sein du logement et afin d’effectuer un Diagnostic de performance Énergétique sur celui-ci, il vous faut fournir au préalable des informations telles que l’installation du chauffage ou la surface totale habitable de l’immeuble. Aussi, pour les biens immobiliers construits avant 1948 avec des étiquettes de DPE vierge, celles-ci ne seront plus acceptées.
La situation géographique d’un bien immobilier
Elle est maintenant prise en compte et les étiquettes énergies E, F et G changent selon le département et l’altitude du logement.
